12 novembre 2005
L'or de Maximilien
Treize, tome 17 - Vance/Van Hamme
Pas de klaquette, nom d'une couette. Par respect pour mes coups de coeur
d'enfante, je rate jamais un treize, mais ça n'empêche pas que je referme
chaque tome avec une certaine irritation. Evidemment, celui-ci se termine sur
un coup de théâtre qui complique encore plus la situation (si, si, c'est
possible) et la suite au prochain. En fait, je n’achète jamais de treize. En
France, je les lisais à la Fnac. C'est une première, décevante et je m'y
attendais.
Fanfan
C'est comme pour Renaud, il y a un moment où il faut savoir s'arrêter.
Fabien
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